Sus conciertos en Lausanne y Ginebra fueron prueba de que el cantante no ha perdido ni sabor ni carisma.
Gabino Pampini (Gabino Lazo Espinosa) , el salsero panameño con una larga carrera artística tuvo mucho éxito en la década de los 70. El 24 y 25 de octubre, en vísperas del centenario de Panamá ( 3 nov.), Pampini alegró y puso a bailar con ganas a su público.
Un regalo a los panameños
Los 2 conciertos en Suiza fueron como un regalo para los compatriotas de Pampini en Suiza. Muchos de ellos conocen al maestro desde que eran niños y ahora tenían la oportunidad de cantar con Pampini los temas que les acompañan desde la infancia. "la Luna y el Toro" , "Ave Maria Lola" "Cinco Pa' Las Doce" son algunos de los temas que hicieron revivir momentos inolvidables que alegraron a sus fans. Esta alegría también invadió notablemente a Pampini como lo demostró al bajarse de la tarima para disfrutar, durante la pausa, de una breve charla con "su gente" - como si fuesen viejas amistades.
Sabotaje por Email
Desgraciadamente no todo salió como debido. A ambos conciertos acudió poco público. Según los organizadores de los 2 conciertos, la culpa la tiene un email anónimo que cursó poco antes del concierto advirtiendo de que Pampini no llegaría a Suiza y que por eso se habría suspendido los conciertos. Del autor de este sabotaje tan cobarde no se tiene ningún indicio. Lo único que se sabe es que enfadó mucho a Pampini, quien no tuvo reparos en llenar de adjetivos severos al remitente anónimo.
También el sonido disgustó al artista. Sobre todo al principio de los conciertos hubieron fallos técnicos pero que felizmente después de un par de temas se pudo solucionar.
De la entrevista
En la entrevista que hicimos a Pampini, nos enteramos de algunas novedades sobre el maestro. Por ejemplo que su ánimo errante no ha disminuido. Hace 6 años que salió de Panamá para instalarse en Costa Rica, Estados Unidos, Colombia, y desde hace muy poco en Madrid, España.
Otra novedad es su nuevo álbum "Cruzando fronteras" que es de autoría de Pampini y que incluye una nueva versión de su popular "La Luna y el Toro" . Por ahora está a la venta en algunos países y en España y Colombia con buena acogida.
"Un porro antes de subir a la tarima"
Aunque menos novedoso pero igual interesante es su confesión de su pasado con las drogas en años más jóvenes. Pampini recuerda que tuvo una época en la que no podía subir a la tarima sin antes fumarse un porro de marihuana. "En el mundo del espectáculo es raro que alguien no coja drogas"- y continúa - "Yo me di cuenta que eso no estaba bien y gracias a la ayuda de Dios y de mi mujer me libré del vicio".
Así mismo manifestó que no por eso deja de tomarse un traguito "para calentar la garganta antes de cantar".
El próximo tragito será para festejar el día de la independencia de Panamá (100 años) este 3 de noviembre.
Gabino Pampini zum ersten Mal in der Schweiz
Seine Konzerte in Genf und Lausanne bewiesen, dass der Sänger weder 'Sabor'(Swing) noch Charisma verloren hat.
Der Salsero aus Panama Gabino Pampini (Gabino Lazo Espinosa) mit einer langen künstlerischen Karriere, war sehr in den 70er Jahren sehr erfolgreich. Am 24. und 25. Oktober, kurz vor der Hundertjahrfeier seiner Heimat (3. November), brachte sein Publikum zum Tanzen.
Ein Geschenk an die Panamaer
Die zwei Konzerte waren wie ein Geschenk für seine Landsleute in der Schweiz. Viele kennen den 'Maestro' aus ihrer Kindheit und nun hatten sie die Gelegenheit mit Pampini die Stücke zu singen, welche sie seit jeher begleiten. "La Luna y el Toro", " Ave Maria Lola", "Cinco pa' las Doce" brachten die unvergesslichen Erinnerungen wieder zum Leben und erfreuten seine Fans. Diese Freude steckte, wie man leicht bemerken konnte, auch Pampini an, so dass er während der Pause von der Bühne stieg, um mit 'seinen' Leuten ein Schwätzchen zu halten - wie wenn sie alte Freunde gewesen wären.
Sabotage per Email
Unglücklicherweise klappte nicht alles wie geschmiert. An beiden Konzerten war nur wenig Publikum anwesend. Schuld war, gemäss den Veranstaltern der zwei Konzerte, ein anonymes Email mit dem Inhalt, dass Pampini nicht in die Schweiz kommen würde und die Konzerte abgesagt worden wären. Auf den Autor dieser feigen Sabotage fehlt jeder Hinweis. Einzig sicher ist, dass Pampini sich sehr ärgerte und nicht an einschlägigen Adjektiven für den anonymen Email-Sender sparte.
Auch missfiel dem Künstler der Sound. Vor allem zu Beginn der Konzerte gab es technische Probleme, welche aber zum Glück nach ein paar Stücken behoben werden konnten.
Vom Interview
Im unserem Interview erfuhren wir von Pampini einige Neuigkeiten. Zum Beispiel hat sich seine Launenhaftigkeit nicht verringert. Vor sechs Jahren verliess er Panama um sich in Costa Rica niederzulassen, um dann in die USA, nach Kolumbien und seit kurzem nach Madrid, Spanien umzuziehen.
Eine weitere Neuheit ist das neue Album "Cruzando fronteras" (Grenzen
überschreitend) aus der Feder Pampinis, welches eine neue Version seines Hits "La Luna y el Toro" beinhaltet. Es ist jetzt in einigen Ländern im Verkauf und findet vor allem in Spanien und Kolumbien grossen Anklang.
"Vor der Bühne einen Joint"
Obwohl wenig neu, aber dennoch interessant war sein Geständnis seiner Drogenvergangenheit. Pampini erinnert sich an eine Zeit, in welcher er nicht auf die Bühne steigen konnte, ohne zuvor eine Marihuana-Zigarette geraucht zu haben.
"In der Showwelt ist es selten, dass jemand keine Drogen nimmt" - und fuhr er weiter - "Ich bemerkte, dass dies nicht ok ist und dank der Hilfe von Gott und meiner Frau konnte ich mich von diesem Laster befreien".
Aber wie er selbst bestätigte, lässt er sich deswegen nicht von einem Drink "um die Kehle aufzuwärmen" abhalten.
Das nächste Gläschen wird wohl am 100. Unabhängigkeitstag Panamas, dem 3. November, fällig.
Gabino Pampini en Suisse pour la première fois
Ses concerts à Lausanne et à Genève ont prouvé que le chanteur n'a pas perdu sa saveur ni son charisme.
On parle de Gabino Pampini (Gabino Lazo Espinosa), le salsero panamien qui a eu une si longue carrière artistique et beaucoup de succès pendant les années '70. Le 24 et 25 octobre, à la veille du centenaire de l' indépendance de Panama (le 4 novembre), Pampini a animé et fait danser de plein gré son public.
Un cadeau pour les panamiens
Les deux concerts ont été un véritable cadeau pour les compatriotes de Pampini en Suisse. Beaucoup d'entre eux connaissaient le maestro dès qu'ils étaient des petits enfants, et avaient maintenant l'occasion de chanter avec Pampini lui-même les thèmes qui leur ont tenu compagnie pendant leur enfance. "La Luna y el Toro", "Ave María Lola", "Cinco Pa' Las Doce" ont été quelques thèmes qui ont fait revivre certains moments inoubliables qui ont réjoui ses fans. Cette joie a envahi aussi Pampini, bien remarquablement, et il l'a clairement démontré quand il est descendu de de la scène pour jouir, pendant la pause, d'un brief bavardage avec "ses gens" - tout comme si elles étaient de vieilles amitiés.
Un sabotaje via courrier électronique
Malheureusement, pas toutes les choses se sont déroulées comme prévu. Peu de public s'est rendu à tous deux concerts. D'après les organisateurs de ceux-ci, c'est la faute d'un courrier électronique anonyme qui a été répandu peu de temps avant le concert, et qui prévenait que Pampini n'allait pas venir en Suisse et que, à cause de cela, les concerts allaient être suspendus. On n'a aucun indice sur l'auteur, si lâche, de ce sabotage. L'on sait seulement que cela a beaucoup fâché Pampini, qui n'a pas eu de réserves pour adresser des adjectifs très sévères contre l'expéditeur anonyme.
Le son a aussi déplu l'artiste. Surtout au début des concerts, il y a eu des problèmes techniques qui ont été résolus après une paire de thèmes, heureusement.
Quelques extraits de l'interview
Pendant l'interview qu'on a fait à Pampini, on a appris quelques nouvelles sur le maestro. Le fait que son esprit errant n'est pas disparu. Il y a 6 ans qu'il est sorti de Panama pour s'installer en Costa Rica, aux États Unis, en Colombie et, il y a peu de temps, à Madrid, en Espagne.
Une autre nouvelle est qu'il est en train de présenter son nouveau disque, "Cruzando fronteras", incluant une version toute neuve de son thème "La Luna y el Toro", si populaire. Le disque a été mis en vente en quelques pays et en Espagne et Colombie, et a eu un très bon accueil pour l'instant.
"Un joint avant de monter sur scène"
Moins neuve mais aussi intéressante a été la confession de son passé lié aux drogues, pendant les années plus jeunes. Pampini se souvient d'une époque pendant laquelle il ne pouvait pas monter sur scène sans avoir fumé un joint avant. "C'est étrange que personne ne prenne des drogues dans le domaine de l'industrie du spectacle" - et il continue - "Je me suis rendu compte que cela n'était pas bien et, grâce à Dieu et à ma femme, je me suis débarrassé du vice".
Il a déclaré de même qu'il n'a pas quitté l'habitude de prendre un petit verre "pour faire échauffer la gorge avant de chanter".
Le petit verre prochain sera pour célébrer le jour de l'indépendance de Panama (cent ans) le 3 novembre prochain.